Un conte de Koffi : Un puits pas si rafraichissant…

Le conteur Africain, né le vendredi d’où son nom , Koffi est venu raconter des histoires aux 6ème et 5ème. Nous nous sommes donc invités à la partie pour vous faire un résumé d’une de ces histoires.

Avant l’histoire, Koffi nous a demandé  de réclamer les histoires quand il disait « titi » nous devions répondre « tia » et si il disait « histoire » nous devions répondre « raconte ». Une fois la réclamation faite, Koffi commença sa première histoire.

« L’histoire parlait d’une grande sécheresse, les animaux recherchèrent de l’eau partout mais ils n’en trouvèrent pas. Ils se sont donc réunis pour trouver une solution, ils eurent l’idée de construire un puits mais ils n’avaient ni outil ni d’argent pour le payer. Ils trouvèrent une solution, se couper chacun un bout de leur oreille et les échanger contre des outils au forgeron. Seul un animal refusa de se couper une bout d’oreille, le lièvre car pour lui il n’avait pas besoin de leur eau, il préférait ses oreilles. Les animaux échangèrent donc leur oreille contre les outils. Ils construisent donc le puits et ils buvaient l’eau qui en sortait. Le soir, le lièvre vint boire dans le puits mais le matin venue les animaux remarquèrent les empreintes du lièvre. Les animaux décidèrent de le piéger  en faisant une statue en pâte à mâcher. Le soir qui suit le plan a été mis en place, le statue était devant le puits et le lièvre arriva. Le lièvre énervé  qu’une autre personne profite du puits la nuit demanda à la statue ce qu’elle faisait ici. La statue ne lui répondit pas (logique) et le lapin s’énerva et le frappa avec une de ses pattes mais il resta collé. Il s’écria que la statue devait le lâcher mais elle ne répondit rien et le lièvre s’énerva de nouveau et la frappa de l’autre patte avant. Il lui cria à nouveau de le lâcher mais sans espoir car il ne répondit rien. Le lièvre désespéré lui donna un autre coup avec ses pattes arrières et puis sans espoir avec sa tête. Le matin le lièvre était collé contre la statue et les animaux vinrent le libérer puis le menacer de le brûler vif. Le lièvre alors fit semblant d’être mort, les animaux tombèrent dans sa ruse et le laissèrent seul. Il en profita pour s’échapper en courant et les animaux n’ont pas réussi à le rattraper. FIN  »

La morale de Koffi : Il ne faut pas être égoïste, c’est important de s’entraider.

Julia et Melvyn